80 proverbes ou dictons avec le mot ME

80 proverbes ou dictons avec le mot ME

A ceste mesure je me branes
A ceste mesure je me brasse
A la chèvre dit son chevreau, tel tu me fais, tel je te ferai
Après que j'ay marie ma fille, l'on me vient offrir des partis pour elle
Aux yeux glauques ne t'y fie pas, les yeux bleus de toi je me moque, les yeux noirs suis-moi si tu veux, les yeux mordorés amoureux
Boire et manger, coucher ensemble, c'est le mariage ce me semble
Ce qui te fait mourir, me fait vivre
Celuy est bien mon oncle qui le ventre me comble
Celuy est bien oncle qui le ventre me comble
Cil est mon oncle qui le ventre me comble
De qui je me fie, Dieu me garde, et de qui ne me fie je prendray garde
Dieu me garde de quatre maisons, de la taverne, du lombard, de l'hospital et de la prison
Dur mestier me faict apprendre qui me veut faire donner et j'ay apprisa prendre
Dur mestier me fait apprendre qui me veult faire donner et j'ay apris a rendre
En me saoulant de pain, j'ay en un peu de treve avec mon mal
Force me faites et beau me est
Garde-moy de l'eau douce ; car ie me garderay bien de la courante moy mesure
Grande et grosse me fasse Dieu, blanche et rose je me ferai
Ie me tiens cachée sous le lit, vous ne scauriez me trouver
Ie ne me puis mettre a l'estude
Il est midy le soleil me luist sur le ventre
Il me fait le beau beau devant les gens
Il me fault trouver moyen de me faire valoir, de faire parler de moy et acquerir bruyt
Il me suys laisse dire cecy ou on m'a faict a croire cecy
J'ay bon couraige mais les jambes me faillent
J'ay de quoy pour ne me scavoir que faire
J'aymeroys mieulx que l'ung me battist que lautre de ses dons me remplist
Je me fis moyne par depit, et ay demeure de honte sans en sortir
Je ne vaux personne, personne ne me vaut
Je suis boiteux, je traîne une jambe, je suis boiteux, je me moque de tous
Je veux qu'on me tonde
La chemise me touche, mais la chair m'est plus proche, car elle se tient a moy
La chose est petite de soy, mais elle me touche au cueur
Le cheval me porte, le roy me nourrist
Le froid fit nourrir le mois de may, et a moy il me rassasia
Le mal que tu me diras de celuy que il n'aime pas, je le croiray volontiers, quoy qu'il soit estrange, et esloigne d'apparence
Le trop parler me meine a perdition
Les gens de bien sont mes parens, mais les meschans ne me sont rien
Les oreilles me sifflent, quelqu'un dit du mal de moi
Mal advise n'est pas sans peine. plus me haste et plus me gaste
Me faudrait voir, pour croire
Me veulx tu faire acroire de vessie que se sont lanternes
Me veux-tu faire accroire de vessies que ce sont lanternes?
Mont, bois, bon port, fleuve et torrent, me doint Dieu pour proche et parent
Mère pourquoi me marier ma fille pour filer enfanter et pleurer
Oeil bleu pale ne t'y fie pas, oeil bleu je me moque de toi, oeil noir tu peux me suivre, oeil rouge amoureux
Or est robin dyver gettes si le me toudra berthe
Plus me haste, et plus, gaste
Pour ce le me fais que le te face
Pour parvenir j'endure, mais la peine me dure
Première année nez a nez deuxieme année bras a bras troisieme année ote toi de la car tu me degoutes
Quand la bourse fait clin-clin, tout le monde me dit cousin
Quand le porte-monnaie fait clin-clin, tout le monde me dit cousin, ^et quand il a plus rien, tout le monde me dit coquin
Quand ma bourse fait trin-trin, tout le monde est mon cousin, ^quand ma bourse fait tru-tru, tout le monde me tourne le cul
Quand ma poche fait din-din, tout le monde me dit cousin, ^quand ma poche fait fla-fla, personne ne me donne rien
Quand malade je serai, nul médecin ne me guérira, six cruches pleines de gnôle, voilà mes meilleures gouttes
Que ce soit riz ou fèves, peu importe si je me rassasie
Qui bien me fait, est mon amy parfait
Qui m'aymera qu'il me suyve
Qui me payast, ie m'en allasse
Qui me sera cure je le seray parochien
Qui me veut bien me fait rougir, qui me veut mal me fait blanchir
Qui me voit, je me mocque, qui ne me voit, je l'emporte
Qui oncques me menga ne xet que menger vault
Qui petit me donne si veult il que je vive
Qui petit me donne, si veult il que je vive
Qui tousjours est oisif et chome, me meliore et ne fait some
Qui tout me donne, tout me nie
Quoy qu'il me soit fort fascheux d'aller sarcler pour le meurtrier de mon mary, si est-ce que il ne puis me passer de travailler qu'y ferait on?
Si j'y faut que Dieu me faille
Si je me brosse, c'est que j'ai trouve de la boue
Si tu me fais ce plaisir, je te gratteray la teste
Tel me doit qui me demande
Tel tu me fais, tel je te ferai
Tel tu me fais, tel je te ferai, disait la chèvre a son chèvreau
Toute terre m'est vray pais, ou bien me va et trouve amys
Tu me grattes ou il me demengenst
Tu me porte tousjours bon heur
Tu me romps la teste
Vous me faictes croire de vessies que ce sont lanternes